Bonjour à tous,

 

 La nuit c’est bien installé dans notre quotidien et des tensions se font toujours ressentir en cette saison où l’Hiver vient frapper à nos portes.

 

Les fêtes de fin d’années approchent à grand pas en commençant par le sabbat de Yule symbole de vie et de lumière qui se déroulera le jour du solstice d’Hiver le 21 décembre juste avant Noël.

 

En ces temps sombres, je vous parlerais d’une petite merveille le Larimar, pierre d’une grande douceur et de tendresse.

 

Gilles nous parlera du sapin, que nous mettons tous dans nos maisons en ces périodes de fêtes de fin d’année.

 

Quant à Sébastien, un petit tutoriel pour la fabrication de lampes à beurre pour vos offrandes de lumière.

 

 Je profite de l’occasion pour vous rappeler que Noël approchant, les services de notre bonne Fée La Poste se retrouve débordée, donc si vous ne souhaitez pas être pris au dépourvu pour faire vos cadeaux ; prévoyez un peu plus de temps pour les délais de livraison des colis.

 

Enfin, pour accompagner cet esprit de fêtes de fin d’année, une remise de 10 % sur l’ensemble de la boutique sera valable du 1er au 11 Décembre, peut être le moment idéal pour trouver des idées originales ou de se faire plaisir.

 

Pour en profiter il vous suffira d’insérer le code « YULE20 » dans votre panier avant de valider votre panier.

 

Nous vous souhaitons bonne lecture de cette Newsletter ainsi que de merveilleuses fêtes de fin d’année.

 

Prenez soin de vous et de vos proches.

 

Le Larimar (Par Gaëlle)

Le larimar est une pierre mystique et magique qui garde à l'intérieur l'essence même de l'Eau et de l'Air (l'Eau liée aux émotions du cœur et l'Air aux sensations de l'esprit). Sa fonction première est de chasser les entités négatives.

 

Elle est cependant une pierre très fortement reliée à l’Eau dont le lien impacte fortement sur les propriétés de cette dernière.

La douceur de cette pierre repousse les énergies négatives engendrées par la dureté des sentiments pour laisser place à la tendresse et à l'attention de l'autre.

 

Apaisante, elle élève le niveau vibratoire du corps mental de l'aura, contribue efficacement à l'équilibre émotionnel et enrichit les rapports humains en s'opposant aux mauvaises interprétations des dialogue du couple. 

 

Le larimar permet une harmonisation parfaite du plan émotionnel.

Accompagnée d'un cristal de roche on pourra purger son enveloppe éthérique des entités qui ont pu s'y accrocher.

 

Spirituelle, elle permet à son porteur de s’ouvrir à de nouvelles dimensions en stimulant son évolution. En effet, elle charge en énergie spirituelle tout en dissipant les mirages et guidant l’âme sur sa véritable Voie Initiatique.

 

Sur le chakra de la gorge, c'est une magnifique pierre de communication réciproque entre hommes et femmes.
Apportant calme, équilibre et un antidote aux troubles émotionnels, le larimar aide les praticiens.

 

Sur le plan psychologique, le larimar permet d’écarter aussi bien, les tendances à un comportement auto-saboteur, les blocages que les contraintes que l’on s’impose soi-même car elle aide à reprendre le contrôle de sa vie.

 

Pierre féminine d'une extrême douceur, elle apporte calme et équilibre. De même, elle chasse la peur et amoindrit les tendances à la culpabilité. Ce qui est fort utile en période de changements ou de stress. 

 

Sa vibration douce est reconstituante, harmonisante et rend la joie de vivre. Apaise la colère et l'irritabilité, protège du stress dû à la suractivité, permet d'être soi-même et en paix dans l'action, sans être sous pression, aide à se libérer de l'opinion des autres. 

 
Purification :

Le larimar se purifiera à l’eau déminéralisée, sans sel.

 

Rechargement :

 Le Larimar est une pierre photosensible et ne doit pas être trop longtemps exposée au soleil sous peine de pâlir. Un rechargement lunaire sera parfait, ou sur un amas de Quartz.

 

 

Le Sapin (Par Gilles)

En tant que conifères, sapin et épicéa portent leurs aiguilles toute l'année. Ils font partie de ces espèces dites semper virens, dont nombreux sont les représentants (laurier, lierre, yeuse...). Difficile de ne pas remarquer la parure verte de ces arbres en plein hiver.

 

C'est très certainement pour cette raison qu'ils furent associés à un certain nombre de rites marquant le retour du soleil, à proximité du solstice d'hiver, en particulier lors de la célébration de Yule (ou Jul) chez les peuples nordiques. Le sapin vient occuper le jour surnuméraire du calendrier celtique constitué de treize mois de 28 jours.

 

Ce jour, on l'associe généralement au solstice d'hiver, comme date de redémarrage, puisqu'au solstice, le soleil, qui entre, de nouveau par la porte solsticiale ascendante, est, si l'on peut dire, accouché une fois de plus. C'est ce que l'on rencontre à travers le culte rendu à Mithra, symbolisant la victoire de la lumière sur l'obscurité néanmoins nécessaire, la recrudescence de l'énergie lumineuse et de tout ce qu'elle implique. Il est alors question de régénération tant physique que spirituelle.

 

Que des arbres représentant la vie, son éternité et sa pérennité, président à l'accouchement du Soleil au solstice d'hiver, rappelle aussi que le sapin était consacré à Artémis. Est-ce donc étonnant s'il a été attaché à des rites nuptiaux ? Son rôle très actif s'explique du fait qu'au cœur de l'hiver, il a l'avantage d'être toujours plein de verdeur. Aussi frappait-on les autres arbres avec des branches de sapin afin de souhaiter à ceux-ci qu'ils portent, dans le futur, de beaux fruits. On faisait de même avec les femmes, afin d'obtenir d'elles de beaux enfants. Avant même l'accouchement, on procédait à des fumigations de rameaux de sapin dans la pièce où l'on prévoyait la naissance proche de l'enfant.

 

En Écosse, on bénissait l'enfant et la mère « avec une torche de sapin enflammée promenée par trois fois autour du lit ». Bien d'autres usages rappellent la valeur de l'arbre de naissance de l'Europe septentrionale qu'est le sapin. Par exemple, en Allemagne, les jeunes époux portaient en main des branches de sapin ainsi que des bougies. Par ailleurs, les cônes dressés de cet arbre ne rappellent-ils pas quelque peu le phallus (alors que ceux de l'épicéa pendent en direction du sol) ? Le sapin accompagné du feu des bougies doit immanquablement vous évoquer quelque chose. Des anciens rites, les chrétiens s'accommodèrent. Par exemple, Sol invectus devint peu à peu la fête de la nativité, en relation avec celle du Christ, pourvoyeur de lumière et d'espoir, aux abords de la porte solsticiale ascendante. Qu'importe que le Christ soit né dans une contrée où le sapin ne poussait pas. Il s'agissait alors, à travers l'évangélisation, de coopter l'arbre sacré local pour en faire un avatar christique. Et cela dépend bien évidemment des régions.

 

Chez mes grandsparents, où le sapin ne pousse pas, c'était une branche de pin noir, parfois même un petit arbre, que l'on décorait, pour le soir de Noël, avec ce que nous avions à disposition, c'est-àdire, la plupart du temps, pas grand-chose, mais juste assez de ce qu'une prodigalité de la nature inhabituelle avait pu soustraire aux ventres et à l'économie domestique : des petites guirlandes de papier tressées par des mains enfantines, des pommes de pin enturbannées d'un brin de bolduc auquel on suspendait l'offrande à l'arbre qui la vit choir, des petites pommes toutes ratatinées dont je me demande bien comment elles purent parvenir jusque là sans être croquées, des noix et des amandes décorées, enfin, de petites bougies enchâssées dans des bougeoirs métalliques qui se clipsaient sur les branches de l'arbre, à la manière des pinces à linge, et auxquelles une surveillance de tous les instants était dévolue, afin d'éviter l'entier embrasement de l'arbre. 

 

Par ce qui semble être un phénomène d'inversion symbolique, en Suède, le pin intervenait à l'époque du solstice d'été sous la forme d'un mât de mai, prenant le plus souvent l'apparence d'une branche de pin ornée de rubans et décorée d'objets divers. Premièrement nordique, le « sapin de Noël » s'est déployé petit à petit à des zones plus méridionales.

 

En France, cette coutume est apparue tardivement, si l'on en croit les sources. Le premier sapin de Noël serait apparu dans la cathédrale de Strasbourg au XVI ème siècle (information à laquelle il importe d'amener une importante précision : au XVI ème siècle, Strasbourg n'est pas encore rattachée à la France, elle ne le sera qu'en 1681 ; ainsi, le soi-disant premier sapin de Noël strasbourgeois est-il encore bien teinté d'influences germaniques), alors que d'autres ne font remonter cet usage qu'au règne de Louis-Philippe, soit trois siècles plus tard.

 

Aujourd'hui, beaucoup de « sapins » de Noël vendus en France ne sont que des épicéas, que l'on retrouve malingres et dépenaillés dès janvier sur les trottoirs, après quelques heures de gloire, ce qui est une chose assez étonnante, car nous avons dit que le sapin est le plus frileux des deux, il résiste donc mieux à l'intérieur d'une maison durant la période des fêtes, perdant plus lentement ses aiguilles que l'épicéa, qui à l'état sauvage, bon an mal an, fait son chemin pendant généralement trois ou quatre siècles, bien que le record de longévité de cet arbre se situe autour du demi millénaire. A l'heure actuelle, le sapin de Noël est de moins en moins un épicéa : il redevient un sapin, puisque c'est Abies nordmanniana à qui il incombe de jouer ce rôle en fin d'année (malgré son nom, il n'est en aucun cas originaire du nord de l'Europe puisqu'il provient de l'est, étant caucasien et, contrairement au sapin blanc, le sapin de Nordmann est une espèce héliophile).

 

© Books of Dante/Gilles Gras

 

Offrandes de lumière (Par Sébastien)

La période de fin d’année approche et nous pensons tous aux personnes qui ont de l’importance pour nous.

C’est également une saison durant laquelle je pense aussi à ceux qui ne sont plus là mais qui garde une place importante dans mon cœur.

 

Afin d’honorer leur mémoire, je confectionne une offrande de lumière que j’allume le soir du solstice d’hiver, le jour de Yule.

Pour cette réalisation, je me suis inspiré de la tradition Tibétaine dans la conception des lampes à beurre destinées aux offrandes.

 

Le bouddhisme tibétain considère la lumière comme un élément remplissant l'univers à différents niveaux. Elle est censée guidée le défunt vers les hautes sphères du bonheur et du repos.

Certes, nous pourrions tout aussi facilement allumer une simple bougie, mais le fait de les confectionner soi-même permet de donner une plus grande valeur à cette offrande et celle-ci prend alors tout son sens et son intérêt.
Soyons clair, ce labeur n'est pas très compliqué et nécessite bien peu de temps.
C'est bien plus souvent par ignorance que par « paresse » que les lampes à beurre sont souvent remplacées par de simples bougies.

 

Ce petit tutoriel n'a nul autres prétentions que d'expliquer simplement comment on peut confectionner soi-même ces lampes à beurre destinées à honorer la mémoire des nôtres.

Nous ne ferons pas exactement les lampes à beurre comme au Tibet car trouver du beurre de yack n'est pas des plus simples en France, mais l'esprit sera le même...

 

 

Ingrédients nécessaires :

 

 - de la mèche à bougie ou du coton.

 - de l'huile de palme (je vous invite à bien vérifier la provenance et que celle-ci soit éco-responsable).

 - une casserole dédiée à cet effet.

 - une lampe à beurre ou un récipient résistant à la chaleur.

 - Quelques ingrédients pour personnaliser votre lampe (huiles essentielles, plantes, encens…)

 

 Pour cet exemple, je vais utiliser de l’encens d’oliban, de benjoin et de myrrhe que j’aurais réduit en poussière à l’aide d’un mortier.

 

 Le support et installation de la mèche :

 Les lampes à beurre sont pourvues d'un petit trou à l'intérieur qui permet de placé une mèche.

 Il faut couper un bout de mèche, la plier sur quelques millimètres pour ensuite la caler dans ce petit trou (on peut s'aider d'un petit objet pointu). La mèche doit être bien droite et tenir seule en ne dépassant que peu de la lampe à beurre (personnellement je fabrique un petit support qui permet de tenir la mèche droite).

 

On peut également rouler du coton pour confectionner une mèche que nous enduiront de cire afin de la faire tenir droite dans son support.

Personnellement j’utilise un bocal en verre (résistant à la chaleur) que j’aurais préalablement purifier avec de l’encens.

 

Je verse quelques gouttes de cire chaude au fond du bocal et pose aussitôt la mèche dessus afin de la faire tenir au fond du bocal (ceci afin d’éviter que la mèche ne bouge lorsque je placerais l’huile par-dessus). Ici encore je fabrique un petit support à l’aide de bâtons en bois afin que la mèche reste droite.

 

 Huile de palme :

 L'huile de palme se trouve très facilement dans les magasins bio et se présente sous un aspect solide.

 

 Il convient donc de faire fondre la quantité d'huile nécessaire pour la confection de vos lampes à beurre. Pour cela, il faut simplement couper à l'aide d'un couteau la quantité d'huile nécessaire et la faire fondre à feu doux dans une casserole et y incorporer les encens lorsque le bloc d’huile sera fondu. La chaleur va faire fondre l'huile qu'il n'y a alors plus qu'à verser dans la lampe à beurre en veillant à ne pas faire tomber la mèche (évitez de faire couler l'huile sur la mèche). Au besoin, le support en bois permettra aisément de replacer la mèche bien droite dans la lampe à beurre.

 

 Il ne reste plus qu'à laisser refroidir tranquillement (cela demande parfois un peu de temps en fonction de la taille de la lampe).

 

 Vous savez à présent comment fabriquer vous-même de jolies lampes à beurre dans l'esprit tibétain...

 Bien entendu, ces dernières peuvent également être adaptées et être utilisées afin de servir comme support à un rituel.

 

 

 

Nous vous souhaitons un excellent mois de décembre, plein de joie, de bonheur et de rencontres magiques ainsi que de très belles fêtes de fin d’année.

Gaëlle, Gilles et Sébastien

 

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