Bonjour à tous,

 Les festivités de Samhain laissent un doux parfum de fête derrière elles et j’espère que vous avez tous profité de cet instant magique du nouvel an des anciens Celtes.

 
Comme vous avez pû le constater les newsletters ont changées depuis le mois dernier tout comme le site internet et j'espère que ces changements vous plaisent.
 
Aussi et si vous le voulez bien je vous demanderais de bien vouloir mettre à jour vos préférences sur le lien au bas de cette page pour avoir une nouvelle fois votre accord pour l'envoi des lettres d'informations car certaines personnes ont l'air d'avoir oublier qu'ils ce sont inscrits.

Ce mois-ci, nous partons à la découverte de l’œil de tigre dont ses couleurs et ses rayures évoquent l'iris et le pelage du tigre, animal symbolisant la force, la puissance et la protection.

Gilles nous fera découvrir le tulasî ou basilic sacré cette herbe qui éloigne les maux et est invoqué pour la protection de toutes les parties du corps humain.

Si la période est sombre, n’oublions pas que l’automne et l’hiver constituent également une période propice pour prendre du temps pour nous, nous recentrer, penser à nos proches, acquérir de nouvelles connaissances au travers d’ouvrages et découvrir de nouvelles pratiques.

Je vous souhaite à tous un excellent mois de novembre, plein de bonheur, d’amour et de Magie.

Puisse la lumière inonder chaque cœur qui bat sur cette planète et apporter sagesse et paix dans vos maisons respectives, celle qui vous abrite ou celle qui vous sert de véhicule terrestre.

Nous vous souhaitons bonne lecture de cette lettre en espérant de tout cœur qu’elle vous plaira.

Prenez soin de vous et de vos proches.
 
Gaëlle, Gilles & Sébastien

 

 

L'oeil de tigre (Par Gaëlle)

 

L'œil de tigre fait partie de la famille des quartz. De couleur brune à nuances chatoyantes de jaune-doré, il est né de l'œil de faucon par oxydation des fibres initiales de crocidolite incluses dans le quartz.

 

Sa composition chimique est le dioxyde de silicium SIO2, avec inclusions oxydées de crocidolite, minéral également appelé "amiante bleue".

 

L'œil de tigre stimule le chakra racine, le chakra sacré et le plexus solaire ; c'est la pierre parfaite pour aider à la concentration et se recharger en énergie.

 

L'œil de tigre aide à maintenir l'équilibre entre les extrêmes (joie et chagrin, lumière et obscurité...), en harmonisant la dualité présente en chacun de nous.

 

L'œil de tigre agit comme un miroir, il réfléchit les énergies négatives vers son émetteur, ce qui en fait un véritable bouclier protecteur. Il fait prendre conscience du mal qu'une personne mal intentionnée fait à son entourage en les lui faisant subir à son tour. Il n'a aucun pouvoir d'absorption et renverra naturellement les mauvaises énergies reçues.

 

Ses propriétés illustrent parfaitement l'adage "ne fais pas aux autres ce que tu n'aimerais pas que l'on te fasse".

 

L'œil de tigre a également la réputation de protéger du mauvais œil, et protégerait donc aussi d'éventuels sorts qui vous seraient jetés.

C'est une pierre solaire de vitalité, qui sera d'une aide précieuse afin de persévérer dans des difficultés de la vie difficiles à démêler. Son rayonnement nous éclairera sur nos blocages et nous aidera à les dissoudre.

 

Ses couleurs et ses rayures évoquent l'iris et le pelage du tigre, animal symbolisant la force, la puissance et la protection. L'œil de tigre apportera la force de surmonter les épreuves, et aidera à lutter contre la fatigue et le découragement.

 


Il permet de faire des choix basés sur le discernement et non sur un jugement hâtif.

 

C'est une pierre qui donne du dynamisme, le sens du contact avec autrui et le sens de l'amitié. Elle permet aussi de garder ses distances vis à vis des énergies qui nous assaillent et aide à faire abstraction des difficultés extérieures afin de trouver confiance en soi pour aller de l'avant.

 

Du point de vue physique, l'œil de tigre fortifie les os et les articulations.

 

Sur le chakra du cœur, il aura un effet apaisant en cas d'essoufflement et d'asthme. Sur le plexus solaire, il renforcera le foie et favorisera la digestion car il régule l'estomac et soulage les maux de ventre.

  

- Purification et rechargement :

 L'œil de tigre peut se purifier à l'eau déminéralisée, au sel ou dans de l'eau salée.
Son rechargement s'effectuera au soleil ou sur une géode ou amas de cristal de roche.

 

Petit conseil pratique: Préférez une purification au sel en méthode indirecte, comme cela vous n'avez aucun risque d'abîmer votre pierre.

  Purification par le sel en méthode indirecte :

 

Prenez 2 récipients en verre.

 

Dans le grand placer y le sel et dans le petit placer y vos pierres.

 

Placer le récipient contenant les pierres dans celui contenant le sel au centre de ce dernier en 1 H 30 vos pierres seront purifiées.

 

Il est impératif que vos récipients soient en verre car seul ce matériau laisse circuler les énergies.

 

 

Le Tulasî (Par Gilles)

 Pour bien comprendre la dimension sacrée qui auréole le basilic, il importe de le faire revenir sur ses pas, et de nous rendre sur sa terre originelle, c'est-à-dire l'Inde.

 

Là-bas, le basilic est tout aussi sacré que la verveine l'était pour les Romains, sinon davantage encore. On y élève de toutes petites « chapelles », ainsi que de véritables autels cernés de murs et de piliers, en l'honneur de cette plante à laquelle on s’adresse comme s'il s'agissait d'une divinité. Et cela en est bien une en définitive, puisque la mythologie hindoue nous apprend que l'amante de Krishna, Tulsi, fut métamorphosée en ce basilic.

 

C'est donc elle qu'on adore à travers son image végétale, basilic sacré ou tulasî (tulsi est impropre). Voici comment les Hindous conçoivent leur relation spéciale à cette plante, d'après les observations de l’ecclésiastique Vincenzo Maria da Santa Caterina qui se rendit sur place au XVII ème siècle : « Ils ont grand soin de cette herbe ; devant elle, ils murmurent plusieurs fois par jour leur prière, en se prosternant souvent, en chantant, en dansant, en l'arrosant avec de l'eau.

 

 Sur les rivages des fleuves où ils vont se baigner, on en voit en grande quantité ; ils croient en effet que les dieux aiment particulièrement cette herbe, et que le dieu Ganavedi (Ganeça) y demeure continuellement.

Lorsqu’ils voyagent, à défaut de cette plante, ils la dessinent sur le terrain avec sa racine, voilà comment s'explique qu'au bord de la mer, on remarque si souvent de pareilles figures tracées sur le sable ». C'est vrai qu'en terme de dieux, le tulasî n'est lié pas moins qu'à Lakshmî et à Vishnou, et cette herbe ceint le front de bien d'autres divinités du panthéon hindou, sachant que son parfum raffiné reste associé à la puissance divine.

 

Plante féconde et fécondante, le tulasî est invoqué pour la protection de toutes les parties du corps humain, de la tête jusqu'aux pieds, et à chacune d'elles correspond une prière bien distincte. L'incomparable tulasî intervient aussi bien pour la vie que pour la mort. C'est une plante immortelle « qui contient en elle toutes les perfections, qui éloigne les maux, qui purifie et qui guide au paradis céleste ceux qui la cultivent ». C'est là un parfait résumé des fonctions de l'herbe tulasî.

 

 Véritable amulette, il est vrai que le tulasî est reconnu, parce que propice et parfumé, comme destructeur des méchants, qu'il met en fuite, de même que les monstres qu'il éloigne, comme le montrent bien quelques-uns de ses autres noms sanskrits, apetarakshasî et bhûtagni.

Cette vertu s'applique également au venin des serpents et à toute influence pernicieuse qui viendrait entraver les rituels de fécondation, c'est-à-dire destinés à la perpétuation de la vie. Chargé de tous les aspects de la vie des hommes et des femmes en Inde, le tulasî ouvre également les chemins du Ciel aux hommes pieux.

 

C'est pourquoi il doit être cueilli uniquement dans une bonne intention et de façon précautionneuse, sans casser la plante, de crainte d'irriter Vishnou, et sans oublier les prières d'usage :

« Mère Tulasî, toi qui apportes la joie au cœur de Govindas, je te cueille pour le culte de Nârayana. Sans toi, bienheureuse, toute œuvre est stérile ; c'est pourquoi je te cueille, déesse Tulasî ; sois-moi propice. Comme je te cueille avec soin, sois miséricordieuse pour moi, ô Tulasî, mère du monde ; je t'en prie ! »

 

Comme on le constate, il n'était pas question de s'y prendre à la légère, puisque, de toute façon, si c'était le cas, Vishnou se charge de rendre « malheureux pour toute sa vie et pour l’éternité l'impie qui, par mauvaise volonté, voire même aussi l'imprudent qui, par mégarde, arracherait l'herbe tulasî ; point de bonheur, point de salut, point d'enfants pour lui ».

 

Oui, répétons-le, le tulasî ne peut accorder ses bienfaits et largesses qu'aux méritants, qu'ils soient morts ou vifs. Ainsi, après une existence de parfaite dévotion, l'homme, sentant la mort venir, se prépare sereinement à cette éventualité. Une fois son trépas interrompant le fil de son existence terrestre, il est de coutume de placer un petit bouquet de cette plante entre les mains du défunt ou bien une feuille sur sa poitrine, afin que ce viatique lui assure un bon voyage. Puis on lui lave la tête à l'aide d'une eau dans laquelle on aura préalablement fait macérer des feuilles de ce basilic, ainsi que des graines de lin.

 

  © Books of Dante/Gilles Gras

 

J’espère de tout cœur que cette lettre vous aura plu et laissera un doux parfum de magie dans votre esprit.

N’hésitez pas à venir consulter la boutique pour plus d’informations, ou pour découvrir toutes les nouveautés que nous avons mises en place.

 

Nous vous souhaitons un excellent mois de novembre, plein de joie, de bonheur et de rencontres magiques.

Gaëlle, Gilles et Sébastien

 

 

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