Bonjour à tous,

La nature commence doucement à reprendre ces droits en laissant place à la lumière.

 Nous avons débuté ce mois de Février avec le sabbat d’Imbolc qui est un Sabbat de renaissance qui souligne le retour à la vie.

   L’Hiver est une période difficile mais nécessaire au renouvellement des énergies de la Terre.

 Cette période longue et sombre et néanmoins nécessaire reste une période difficile et fatigante pour l’esprit comme pour le corps qui se hâte du retour du Soleil.

 

  Ce mois-ci je vous parlerais donc de l’Améthyste qui je l’espère grâce à ses propriétés Calmantes pourra vous aider à passer cette fin d’hiver.

 Gilles quant à lui nous parlera du Polypode qui est une fougère sacrée et magique.

  Et enfin, Sébastien vous a concocter un petit texte sur le Benjoin sous toute ses formes, le meilleur encens de protection et de purification de l’habitation.

 

    Espérant de tous cœur que cette lettre vous plaira.

Je vous souhaite à tous un excellent mois de Février.

  

 Puisse la lumière qui s’en revient apporter sagesse et paix dans nos maisons.

Gaëlle

 

L'Améthyste ( Par Gaëlle)

L’améthyste est un quartz de couleur violette, dont l’intensité varie en fonction de la quantité de manganèse et de fer présents dans chaque gisement.

Elle est associée à la sérénité, à l'équilibre et à la tempérance.

Sa vibration violette est source de purification et incite à la méditation en renforçant l'intuition.

C'est la pierre de la Sagesse et de l’humilité. Elle combat l'ivresse et les intoxications en générales. L'améthyste favorise l'élévation spirituelle, la concentration et la méditation. Par ailleurs, elle purifie les pièces de votre habitation (chambre à coucher, salle de séjour, ...) ou des objets.

Puissante et protectrice, l'améthyste élève la vibration énergétique du lieu où elle est disposée. Ce cristal produit un champ fort d’énergie, purificateur de l’atmosphère.

 

Au niveau du chakra coronal, elle apaise les maux de tête, les angoisses, stimule l'imagination, apporte la sérénité et favorise la méditation. L'améthyste dissipe les angoisses, les colères, la peur et l’anxiété et allège la tristesse. L'améthyste purifie l’aura, et équilibre le corps physique mental émotionnel.

 Placée sous l'oreiller ou portée sur soi pendant la nuit, l'Améthyste chasse l'insomnie et les cauchemars. Elle produit un sommeil paisible, ainsi que des rêves agréables, guérisseurs voire même parfois prophétiques, mais elle permet aussi à celui qui la porte de ne pas trop dormir non plus.

 

L'Améthyste nous remet sur le droit chemin !

Elle a une action sur les baisses de tension artérielle, sur l'anémie.

Dans une chambre à coucher, elle développera une ambiance calme et détendue.
Elle favorise l'élévation spirituelle, la concentration, la méditation, l'intuition, la créativité et la visualisation.

 

Lorsque le stress de la vie de tous les jours vous assaille, serrez une Améthyste dans votre main gauche (si vous êtes droitier, droite si vous êtes gaucher), et laissez ses vibrations déstressant es, calmantes et apaisantes pénétrer en vous.

 

Il est déconseillé d'utiliser l'améthyste en vue de purifier ou de recharger d'autres pierres, sauf pour recharger des pierres dites spirituelles soit des pierres violettes, bleues foncées, blanches, car ces dernières possèdent une énergie proche de celle de l’Améthyste.

 

- Purification et rechargement :

Sa purification s'effectue dans l'eau distillée salée et dans l'obscurité.
Son rechargement, se fait à la lumière lunaire ou sur un amas ou géode de quartz ou d’Améthyste.

 

 

L’origine mythologique de l’Améthyste :

Hettie Henriette Védrine dans son livre « Les Pierres Précieuses » rapporte admirablement la légende gréco-romaine de l’origine de l’améthyste, vous comprendrez donc pourquoi l’améthyste était surtout connue pour sa capacité à préserver de l’ivresse.

 

« Après le vin qu’il avait inventé et qu’il « honorait » copieusement et fréquemment, le dieu Bacchus aimait les chansons et par-dessus tout, celle de la nymphe Améthyste à la voix si suave. Fou d’amour et de doubles croches, il résolut de l’épouser et, sans plus réfléchir, s’en alla demander à son père Jupiter, la main et le gosier de sa belle.

Mais, Jupiter, le maître des dieux, avait horreur des mésalliances, sachant que la plupart du temps ces accouplements roturiers provoquaient à la longue des unions désastreuses.

 Pourtant d’expérience, il savait également qu’opposer, un « non » catégorique à Bacchus (dont le caractère colérique trop souvent imprégné de boisson détruisait l’harmonie de l’Olympe) n’était pas le bon moyen. Jupiter préféra recourir à la ruse, une manière à lui dont il usait de temps en temps quand il voulait régler un différend.

 Un jour où la belle Améthyste roucoulait comme un rossignol pour le plaisir extasié de son amoureux, Jupiter lança d’un geste nonchalant un éclair de foudre sur la belle enfant qui se retrouva complètement pétrifiée. Et ce mot n’est point une figure. La nymphe était bel et bien devenue une pierre, une laide pierre, dont l’aspect rugueux fit couler des yeux de Bacchus des larmes de désespoir et de pitié.

 

Bacchus n’était point sot et il ne tarda pas à comprendre que pleurer ne remédie à rien. A ruser, rusé et demi, se dit-il. Son père faisait de la plus belle des nymphes un vulgaire caillou ? Il la transformerait, lui, en femme étincelante ! Elevant de sa tête sa couronne de raisins, il choisit la plus belle grappe aux grains transparents et rosés, la pressa entre ses mains, l’écrasa et avec le jus parfumé inonda la pierre, la colora, l’affina, tant et si bien que le caillou devint clair et du violet le plus délicat.

 Il restait à en faire la bénédiction. Bacchus s’y employa solennellement :

 « Améthyste, belle Améthyste, je veux que sous la forme que t’infligea la colère de Jupiter, tu continues à être recherchée et appréciée des mortels. Puisque tu es devenue pierre, sois désormais la pierre de la vertu aimable, le symbole de la céleste puissance. Je veux que tous ceux qui te porteront puissent boire en restant sages, que l’ivresse et les maux qu’engendre le doux fuit de la vigne, leurs soient épargnés. J’ai dit. »

 

Et de ce jour, l’améthyste devint l’emblème de la tempérance ainsi que celui de la puissance spirituelle.

 

C’est donc à un dieu paillard et franc buveur que nous devons cette variété de quartz violet-pourpre, paré d’un éclat magnifique que l’on nomme améthyste (du grec, méthy, appellation d’un vin particulièrement enivrant souvent confondu avec l’hydromel, boisson des dieux).

 Depuis les temps les plus reculés, l’améthyste était connue pour empêcher l’ivresse ou tout au moins protéger le buveur impénitent des mille folies que son état lui suggère. Du reste, le bon sens populaire affirme « qu’il y a un dieu pour les ivrognes »,

 

 

Bacchus à n’en pas douter ! »

 

Le polypode, fougère magique (Par Gilles)

Le polypode est une fougère qui voue une prédilection au chêne et au bouleau. Que cette plante pousse au pied de ces deux arbres sacrés fut sans doute le signe pour les Celtes, les Slaves et les Germains que le polypode avait statut d'hôte divin. De plus, le polypode est animé par une  caractéristique rarissime sous nos latitudes : il lui arrive d'être une plante épiphyte, c'est-à-dire poussant à même les vieilles branches creuses d'un arbre, en particulier si c'est un feuillu comme le sont chêne et bouleau.

 

Imaginez un peu le respect qu'un tel spécimen juché sur un arbre sacré devait susciter ! Une dévotion aussi, qui devait placer le polypode à l'égal du gui, entre le Ciel et la Terre. Nul doute que cette plante devait être tenue en grande estime par les druides, car, comme l'explique Hildegarde, les fougères sont des plantes censées contenir la sagesse et donc la sapience, le savoir, qu'on localisa rapidement semble-t-il dans la « graine » de fougère, ces petits amas jaunâtres qu'on leur voit arborer sur le revers de leurs frondes, alignés en rangs serrés, dessinant le contour de la feuille avec une précision métronomique. Il va sans dire que le polypode aura tôt fait de glisser du domaine du sacré à celui de la magie.

 

Tout un chacun pouvait se lancer à la recherche de la graine de fougère pour laquelle la nuit de la Saint-Jean est le moment capital pour ce faire. Mais que l'on prenne garde, car le polypode est une herbe qui écarte, c'est-à-dire qui égare, c'est pourquoi « on doit éviter de marcher sur plus de sept pieds de fougère lorsqu'on se promène en forêt. Ainsi ne risque-t-on pas de se perdre dans les bois ». De même, si on loupe le coche, que l'on passe devant elle sans la remarquer, on se perd à coup sûr. Il est donc nécessaire de veiller à bien ouvrir l’œil et prendre soin de ne pas poser les pieds n'importe où. Tout danger écarté, l'on peut dès lors procéder à la récolte en pleine nuit.

 

Mais c'est sans compter sur la perturbation du rituel par les esprits qui virevoltent autour du cueilleur, allant parfois jusqu'à le déséquilibrer, le heurtant violemment, afin de l'épouvanter et de lui faire renoncer à son projet. « La nuit de la Saint-Jean, avant minuit on voit en même temps une foule d'autres choses merveilleuses, par exemple, trois soleils, une lumière complète qui dévoile tous les objets, même les plus cachés ; on entend rire, on se sent appelé ; devant de tels  spectacles, il ne faut pas s'effrayer : si on demeure tranquille, on apprendra tout ce qui arrive dans le monde et tout ce qui pourra encore arriver ».

 

Oui, la graine de fougère recueillie durant la nuit magique de la Saint-Jean accorde à son possesseur le don de prophétie, ainsi que la connaissance des secrets, rendant possible, par exemple, la découverte de trésors : elle permet de dominer sur l'eau et sur la terre, de retrouver des animaux égarés, de se protéger lors d'épidémies et d'assurer la sécurité de la femme enceinte et du nouveau-né. « La tradition relative à la semence de fougère est universellement répandue, et pendant le Moyen-Âge, au temps où fleurissait la sorcellerie, on lui attribuait le pouvoir de résister à tous les charmes magiques ».

 

Non seulement la graine de fougère rend invisible, mais fait fuir toutes forces magiques (envoûtement, visions effrayantes, etc.) et favorise la chance, d'où son nom d'herbe de gagne. La puissante attraction que représentait la graine de fougère fut telle qu'en 1612 le synode de Ferrare en vint à en interdire la récolte à l'approche de la Saint-Jean !

 

 

Gilles Gras / Books of Dante

 

Le Benjoin (Par Sébastien)

Parmi une multitude de dénomination, il existe en réalité et principalement deux types de benjoin ; le styrax tonkinensis ou benjoin du Siam et le styrax benzoin plus connu sous le nom de benjoin de Sumatra.

 Le nom de benjoin vient probablement de l’arabe « lubān jāwī » ou « encens javanais », et est à l'origine de celui de benzène dut à la composition du benjoin de Sumatra. On retrouve également quelques similitudes entre la terminaison (jawi) et le terme Francisé plus connu sous le nom de Djaoui qui définit également le benjoin.

 Le Djaoui noir peut également appeler à juste titre Djaoui gris car il est souvent un benjoin de qualité inférieur.

Le Djaoui blanc également appelé Benjoin blanc ou encore benjoin Dragon Fly est quant à lui issu d’un mélange entre du benjoin de Sumatra et de la poudre de dammar.

Le benjoin fait partie des encens les plus utilisé en fumigation, tant pour ses vertus Spirituelle, que médicale. En parfumerie, on l'appréciera pour ses compétences fixatives de fragrance.

C’est un important protecteur et purificateur de la maison, il éloigne les mauvais esprits mais est principalement utilisé pour "nettoyer" un corps, un lieu ou un objet des énergies négatives qui auraient pu s’accumuler à la suite de conflits, de disputes, ou issu d’énergie négatives que nous aurions véhiculé en rentrant d’une dure journée de travail. A force et de temps, les énergies s’accumulent, grandisse et se font ressentir au travers une atmosphère lourde et pesante.

 

Le benjoin entre dans la composition de nombreux mélanges d’encens car il à la faculté d'amplifier les propriétés des autres substances, c’est peut-être pourquoi il est autant apprécié dans de nombreuses cultures et traditions, notamment dans l'Église orthodoxe russe ainsi que dans les pays du Maghreb.

 

 

 Benjoin de Siam et Benjoin de Sumatra

Le benjoin de Siam a une couleur jaune-brun et le benjoin de Sumatra à une couleur gris foncé.

La différence entre le benjoin de Siam et le benjoin de Sumatra est essentiellement d'ordre olfactif. Les vertus antiseptiques ainsi que son effet stimulant sur l'imagination et l'inspiration sont identiques. Certains préfèreront la touche plus douce et vanillée du benjoin de Siam.

 

Benjoin de Siam

Le benjoin du Siam est extrait du styrax tonkinensis, il provient du Laos ou de Thaïlande, c’est pourquoi vous pourrez également le trouvé sous le terme Benjoin du Laos. C'est certainement le benjoin le plus apprécié dans le milieu de la cosmétique car il est un excellent fixateur olfactif et possède une douce odeur vanillée (un peu caramélisé) très plaisante.

Benjoin de Sumatra :

La deuxième variété jadis appelé « Storax » ou encore « le baume » est le benjoin de Sumatra ou styrax benzoin qui provient d'Indonésie, de l'Ile de Sumatra comme son nom l'indique.  Le benjoin de Sumatra possède une très grande efficacité pour purifier les corps, les objets et les lieux des énergies négatives qui s’y sont installées.

 

Propriétés médicales

Dans le domaine médical, sont utilisation était courante en raison de ses propriétés antiseptiques et cicatrisantes. Le Benjoin agit sur les bronches et neutralise les infections pulmonaires de manière remarquable et est un excellent antibactérien et cicatrisant pour la peau.

Le benjoin était également utilisé afin d’assainir l’air dans les hôpitaux, on le retrouve d’ailleurs dans la fabrication du papier d’Arménie.

Historiquement le benjoin était associé avec du Camphre afin d’assainir l’air. Aujourd’hui on retrouve toujours cette association en Magie mais à des fins démonifuge et exorcisante.

 

Propriétés Emotionnelles :

Sur le plan émotionnel le Benjoin dégage des forces purifiantes étonnantes dont le principal effet est d'éliminer toutes les pensées et les émotions impures. On l'utilise pour combattre les idées noires, les tendances suicidaires et dépressives afin de développer l'enthousiasme et la jovialité. Il permet de retrouver confiance en soi, apaise l'anxiété, le stress et la colère et stimule l'introspection, la méditation, l'inspiration et les activités intellectuelles.

En magie le Benjoin est associé à la planète Vénus. C'est pourquoi ses effluves sont bénéfiques à la créativité Artistique et qu'il contribue à l'épanouissement amoureux.

 

Propriétés Spirituelles

Le Benjoin est le symbole par excellence de la prospérité et de la Purification.

Le Benjoin du Siam et le Benjoin de Sumatra peuvent tous les deux être utilisés comme décrit ci-dessus, mais le Benjoin de Sumatra est plus indiqué pour la purification tandis que le Benjoin du Siam est plus indiqué pour la prospérité.

Spirituellement, la fumée du Benjoin peut être utilisée comme aide pour avoir des visions liées à son développement spirituelle et l’évolution personnelle. Il est excellent pour stimuler l'introspection, la méditation et l'inspiration et est utilisé dans de nombreux rituels de paix et de quête intérieure.

Par sa nature, le benjoin de Siam favorise la prospérité dans le commerce et les activités intellectuelles, il aide à se calmer en cas de panique et renforce la vigueur de votre intellect.

C'est un encens qui attire les faveurs Mercuriennes (commerce, communication, déplacement...), c’est pourquoi on le retrouvera dans diverses associations comme Benjoin, cannelle et basilic pour attirer les clients ou encore benjoin de Siam avec de la manne pour la réalisation de souhaits financier. Si vous l'ajoutez avec de l'encens pontifical, le taux vibratoire de l'encens sera grandement favorable à l'évocation des 72 grandes intelligences de Mercure, plus connues sous le nom des 72 génies de la Kabbale.

 

 

Benjoin Blanc, Djaoui Blanc & Benjoin Dragon Fly :(A.Thuly Portail-esoterique.com)

Le benjoin dit blanc également appelé djaoui blanc, ou benjoin dragon Fly est une variété devenue plus courante depuis une vingtaine d’années, et qui est issu d’un mélange réalisé à partir de 1/3 de poudre benjoin se Sumatra et de 2/3 de poudre de Dammar qui sont compressées ensemble. Sa couleur varie et dépend donc de sa composition, plus il est foncé et plus il contient de benjoin de Sumatra. Plus il sera clair et plus il contiendra de poudre de Dammar.

 
Se présentant sous la forme de gros blocs pouvant atteindre plusieurs kg, de couleur grisâtre plus ou moins claire, il est nécessaire de le concasser en morceaux plus petits pour pouvoir le brûler sur des charbons ardents. Il n’est pas rare, au cours du concassage pour être ensaché, que certains morceaux soient totalement broyés et finissent en poudre, qui se retrouve dans les sachets. La qualité « grains » et « poudre » est alors homogène et cette dernière ne correspond pas à une partie moins noble de la récolte.

 

Bien que possédant une action moindre que celle des résines originelles qui le constituent (benjoin de Sumatra & dammar), le benjoin blanc demeure largement utilisé pour ses capacités de purification. Il est ainsi employé pour purifier le corps et éloigné les mauvais esprits ou encore purifier un lieu des « énergies négatives »   qui se sont installées à la suite de conflits et disputes par exemple.

 

Sa vertu bactéricide fait qu’il fut longtemps utilisé en association avec du camphre pour assainir les hôpitaux. Le « benjoin blanc », accompagné par la présence de Dammar qui se marie parfaitement avec le benjoin de Sumatra, favorise également les activités intellectuelles, calme et apaise le mental. Il peut être une aide dans le cadre d’un cheminement visant à l’évolution et au développement personnel, bien qu’on lui préfère le benjoin du siam.

 

 

J’espère de tout cœur que cette lettre vous aura plu et qu’elle laissera un doux parfum de magie dans votre esprit.

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Je vous souhaite à tous une excellente semaine .

  Gaëlle

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