Bienvenue à tous,

 

Le printemps est enfin arrivé, et nous offre un doux spectacle à travers la nature qui s’éveille et nous livre de nouveaux secrets chaque jour.

C’est une excellente saison pour s’épanouir et grandir spirituellement.

 

J’espère que vous avez passé un merveilleux sabbat d’Ostara, et que ce que vous avez semé comme rêves et projets portera ces fruits et vous apportera Bonheur et réussite sur votre chemin de Vie.

 

Je tiens à vous remercier pour de soutien et de vos très nombreux messages ce mois-ci, qui nous réchauffent le cœur et nous encouragent à donner le meilleur de nous-mêmes chaque jour.

 

Tout comme la nature, il est temps pour l’être de s’éveiller à la vie à la suite de la saison sombre.

 

Ce mois-ci, une newsletter concernant l’évolution spirituelle, je vous parlerais donc de la moldavite, cette pierre rare qui agit sur les blocages et les blessures et permet l’évolution psychique, émotionnelle & spirituelle.

 

Gilles nous parlera des objets magiques dans les contes de fées

 

Sébastien quant à lui vous parlera le la rune ansuz symbole de protection divine et de sagesse

 

Beaucoup de nouveautés et de retour en stock sur la boutique ce mois-ci, mais je préfère vous laisser aller découvrir car ce n’est pas le but de cette lettre.

 

Nous vous souhaitons bonne lecture ainsi qu’un merveilleux mois d’Avril.

La Moldavite (Par Gaëlle)

La moldavite est une roche issue de l’impact entre une météorite et l’atmosphère terrestre, elle appartient donc à la famille des tectites.

 

De couleur vert forêt foncé plus ou moins translucide, elle est essentiellement composée de dioxyde de silicium, d’oxyde d’aluminium, calcium, potassium et d’autres oxydes métalliques ; on la trouve principalement en république Tchèque.

 

La Moldavite a toujours été considérée comme l'une des pierres les plus impressionnantes en lithothérapie. L'ouverture extrême du cœur qu'elle procure nous élance vers le plus grand bien et nous révèle le monde sous un regard de bienveillance.

 

En agissant sur les blocages, elle met à nu les limites que nous avons imposées à notre vie et à notre développement et peut faire disparaitre les résistances qui empêchent les individus de s’épanouir et d’évoluer psychiquement, émotionnellement et spirituellement.

 

Les énergies de la moldavite peuvent activer les chakras un à un, ses vibrations ont tendance à se concentrer sur nos blocages ou blessures en les nettoyant.

La moldavite fait remonter à la surface ce que nous devons le plus admettre, intégrer ou éliminer ; tenez vous prêt émotionnellement à libérer les monstres intérieurs qui vous bloquent.

 

Connue pour être la plus grande pierre de compassion, elle permet à chacun de ressentir la difficulté d'autrui et de s'investir dans la quête de solutions meilleures pour tous.

 

Dans un monde individualiste la moldavite recrée du lien et soude les familles comme les communautés.

 

Elle est connue pour stimuler le subconscient en libérant les flux de chakras, surtout celui du cœur, en donnant ainsi accès aux ressources intellectuelles et psychiques cachées.

 

Elle permet aussi de favoriser l’éveil spirituel tels que la clairvoyance ou encore la télépathie. Si elle est correctement utilisée, elle améliore l’efficacité des arts divinatoires

 

C'est enfin une pierre qui libère les voies respiratoires et apaise les troubles tels que l'asthme.

 

La moldavite a tendance à augmenter la vitesse de vibrations des énergies, je vous conseille d’effectuer une méditation par jour durant 5 à 6 jours avant de la porter pour vous familiariser avec sa fréquence ; ne lâchez rien ; laissez-vous quelques jours pour vous habituer à elle si vous ressentez des sensations étranges quand vous la porter.

 

 

Purification et rechargement :

La moldavite peut se purifier à l’eau pure, au sel en méthode indirecte ou par fumigation de benjoin de sumatra ou de sauge blanche.

Son rechargement peut s’effectuer au soleil et à la pleine lune ou sur une géode ou amas de quartz ou sur une fleur de vie.

Les objets magiques dans les contes de fées (Par Gilles)

Je souhaite aujourd'hui m'attacher à un motif que l'on rencontre de façon assez récurrente dans les contes de fées : la poursuite du héros par un opposant qui, à trois reprises, se voit entravé dans son action par un objet magique que le héros jette derrière lui. Nous allons nous intéresser à la forme que prennent ces objets et à ce que leur projection permet au héros d'obtenir. Le héros, expédié chez sa mère-grand, sa tante par alliance ou je ne sais quelle autre personne qui ne lui veut pas du bien, va devoir faire montre de son pouvoir de contrôle et de sa capacité à combattre l'adversaire, quelle que soit la forme qu'il prendra.

 

Le danger, imminent, est parfaitement pressenti par le lecteur. Celui-ci se demande bien comment notre héros va réussir à se dépatouiller du mauvais pas dans lequel il se trouve engagé. La plupart du temps, il peut compter sur l'intervention d'un adjuvant, c'est-à-dire d'un personnage tiers qui consent à lui venir en aide. Le héros se fait remettre trois objets bien distincts qu'il devra utiliser successivement selon un modus operandi précis révélé par l'adjuvant. Que sont précisément ces objets ? Ils sont simples, usuels, domestiques, préhensibles et façonnés par la main de l'homme.

 

Après en avoir répertorié un assez grand nombre, je me suis amusé à les trier et à les ordonner en plusieurs classes, que voici :

• Brosse, peigne, balai, étrille, râteau, trident ;

• Miroir ;

• Linge, drap, serviette, torchon, mouchoir ;

• Outre, pot, plat ;

• Briquet, pierre à feu ;

• Pierre, caillou ;

• Branche, rameau, feuille, fruit.

 

Rien que de très banal en somme et donc à portée de main. A quoi sert donc au héros de s'embarrasser de toutes ces choses, quand, par exemple, il se voit affecter un trident, un râteau et une brosse ? Eh bien, au cours de l'histoire, le héros, prévenu du danger, met les voiles, et ne prend pas longtemps à comprendre que son martyriseur ne l'entend pas de cette oreille. Ainsi s'engage une course-poursuite entre le fugitif et son poursuivant. Afin de distancer davantage son assaillant, le héros jette un des objets magiques derrière lui : s'ensuit une première transformation en quelque chose de beaucoup plus immense afin de mettre des bâtons dans les roues du persécuteur. Et l'on répète deux autres fois le jet d'un nouvel objet qui provoque une métamorphose de plus en plus grandiose, la protection accordée par les objets successifs ne faisant que croître au fil du récit. Penchons-nous donc sur ces transformations.

 

J'ai repéré, au cours de mes lectures, un certain nombre d'éléments que j'ai pareillement mis en ordre :

• Montagne ;

• Rocher ;

• Vallée ;

• Mer, lac, étang, rivière, fleuve ;

• Plaine ;

• Forêt, haie d'épines.

 

Si les objets jetés appartiennent tous à la sphère humaine, ici nous remarquons qu'il s'agit essentiellement d'éléments paysagés, non humains par définition. Par le jet, on constate un transfert de forces, du moins un appel à la Nature et à ses forces supérieures. L'objet magique l'est parce qu'il confère le pouvoir de métamorphose. Par certains facteurs qui le définissent, il convoque les forces d'un autre « objet » auquel il est apparenté. Par exemple, le miroir, objet plat et réfléchissant, fait nettement référence à la puissance de la mer ou du champ de glace, eux aussi concernés par les critères « plat » et « réfléchissant », tout en ajoutant des caractéristiques qui leur sont propres. Par une sorte de magie sympathique, on observe des analogies manifestes entre l'objet magique et sa transformation, fonctionnant par accord, affinité, proximité et voisinage d'idées.

 

Donnons quelques exemples :

• Une pierre un rocher, une montagne ;

• Une bouteille : une grande étendue d'eau, une rivière ;

• Un rameau : une forêt.

 

Parmi d'autres relations, l'analogie fait défaut :

• Un couteau : une plaine ;

• Une pierre à aiguiser : une rivière ;

• Une pierre à feu : une montagne.

 

Ces exemples permettent de constater qu'une même protection peut naître de divers objets magiques, tandis qu'un seul objet est capable de métamorphoses multiples, l'étrille, par exemple. Elle ne se transforme pas moins qu'en mer de feu, roncier, montagne, vallée, rivière, mer et forêt. On observe la même prodigalité avec un objet assez similaire, le peigne : ainsi le voit-on se muer en forêt, plaine immense, fleuve, montagne pleine d'aspérités, chaîne de montagnes, etc.

 

Certaines transitions sont simples : on élargit, agrandit, approfondit, etc. un objet quelconque en son semblable démultiplié : une goutte d'eau devient ainsi un lac d'eau froide, une épine un bois d'épines noires, un éclat de pierre un grand rocher. Mais cela ne laisse que peu de place à l'imagination. Dans les exemples de métamorphoses de l'étrille et du peigne, certaines sont plus ou moins malheureuses : étrille/rivière et peigne/fleuve par exemple. On ne voit aucun lien logique avec un champ symbolique qui unirait ces deux couples. Mais dès lors qu'on a affaire à des analogies plus fines, c'est tout un monde fantastique et merveilleux qui s'ouvre devant nous : quand l'étrille, la brosse ou encore le peigne se transforment en bois touffu, le message est très clair ! Cette forêt doit être aussi épaisse que les poils de la brosse, les troncs de ses arbres aussi resserrés que les dents du peigne ou de l'étrille. On observe aussi un motif qui va crescendo, à travers la triade suivante : trident, râteau et brosse. Du premier jet au dernier, le nombre de dents/poils ne fait qu'augmenter, c'est-à-dire qu'on force de plus en plus le poursuivant à la contrainte et aux difficultés afin de lui faire définitivement lâcher prise : plus l'objet se fractalise (ou multiplie l'une de ses caractéristiques défensives), et plus le persécuteur doit s'obliger à perdre de précieuses minutes à s'empêtrer dans l'obstacle ou à le contourner, alors que le héros, lui, peut, parce que c'est de son ressort, facilement le traverser.

 

Voilà. Si jamais vous planchez sur la protection énergétique et les cercles magiques, ça peut sans doute vous donner quelques idées... ;)

 

Gilles


Quatrième Rune : As ou Ansuz (Par Sébastien)

Ansuz : Protection Divine et Sagesse

Après la Force de Thorn, que nous vue le mois dernier, la quatrième rune apporte l’apaisement, l’engourdissement dans le calme enveloppant qui succède à la tempête.

Elle se nomme Ansuz, également connue sous les noms Aesc ou Asa ou encore Os. Elle se prononce « AA » comme dans l’exclamation « aah ».
Avec Ansuz, nous arrivons à l’évolution spirituelle d’un être humain, conscient et intelligent, ayant la liberté d’agir et de choisir.
C’est la rune de Dieu, la rune d’Odin, dieu de l’éloquence et maître de la communication par la parole et l’écriture. Odin personnifie le pouvoir créateur dans les mondes de la matière, la conscience de l’invisible, l’inspiration divine, les chants magiques, la transe et l’extase.

Ansuz est le souffle divin, « önd », qui anime l’existence, Pneuma chez les anciens grecs, Mana chez les polynésiens ou encore Prana en Inde.  Elle est la voix divine s’adressant à la matière, la communication limpide entre l'esprit et le corps, le symbole de la transformation intérieure qui réveille la part de divinité en chacun, l’être suprême.
C’est un lien qui se tend entre la terre, l’humain et le divin, l’axis mundi représenté par Yggdrasil, qui relie les trois niveaux de l’univers et renferme les neuf mondes de la création. Elle est donc naturellement associée au Frêne.

Ansuz incarne le pouvoir du verbe et de l’expression sur la matière, la force de la parole structurée qui inspire l’autorité. Ce qui paraissait jusqu’alors impossible devient envisageable et se concrétise grâce à une concentration infaillible et une volonté déterminée. Sa forme évoque le geste d’un magicien qui, les bras tendus vers la terre, y fait croître sa création
En terme d’énergie matérielle, elle n’est ni la vie ni la croissance, mais plutôt la force, le mouvement qui pousse les choses à se réaliser.

Elle invite à l’étude et à la compréhension, à la culture, à l’acquisition de savoirs et de sagesse. Ansuz nous parle de compréhension des messages et signes qui nous sont offerts ; elle est principe de connaissance, cadeau des dieux, la Sagesse elle-même. C’est la force de commandement par la parole ou le chant, par le souffle qui traverse tout et neutralise les énergies et influences néfastes.

 

Utilisation en Magie :

L’être humain est un système physique et spirituel complexe. Pour comprendre la Magie runique, nous devons d’abord nous comprendre nous-même.

Ansuz est un symbole de stabilité sur lequel nous pouvons compter, même dans les moments difficiles. Elle s’exprime par le chant ou la poésie, et plus largement, la communication, la littérature. Elle est intimement reliée aux incantations magiques, par la puissance du Verbe. Cette rune est déconseillée pour ceux qui ont besoin d'effacement ou de discrétion.

C’est la rune du corbeau, animal associé au dieu Odin qui en porte deux sur ses épaules : Munin et Hugin (Mémoire et Réflexion). Sans cesse, les deux volatiles lui soufflent à l’oreille ce qu’ils voient et entendent à travers le monde.

Ansuz est la rune des rêves et de l’inconscient, elle ouvre la voie de l’introspection et nous aide à affronter nos peurs.
C’est également la rune de l’enfance avec ses joies et ses peurs primitives. On peut donc l’utiliser pour protéger les enfants mais il faut la manier avec précaution, car si elle peut aider à vaincre les peurs par la compréhension et l’acceptation, elle peut aussi les transmettre.

Cette rune peut être utilisée pour se reconnecter à l’énergie de ses ancêtres, pour relier l’esprit et le cœur mais aussi pour délier deux éléments.
Très utile pour les négociations, entretiens ou examens, elle permet de se faire obéir et de diriger, d’accroître son pouvoir, sa confiance et son autorité. En magie elle invoque la force divine et on l’utilise dans des travaux visant à maintenir et à renforcer l’ordre.

Associée à l’élément Air, Ansuz est la rune du vent. Elle peut être brise légère ou tempête ; voix rugissante ou un murmure. Elle montre ainsi une propension à passer instantanément du calme plat à l’ouragan furieux.
Son aspect sombre est puissant, et peut imposer de grandes souffrances pour accéder à la connaissance. Elle peut être synonyme de danger de pourrissement si le pouvoir à accueillir est trop grand pour le réceptacle qui le recevra.

 

 

Son tirage :

Ansuz est une rune d'espérance, de conscience et d'éveil spirituel, elle est le lien qui relie les mondes divins et les hommes. Elle est empreinte de sagesse, de savoir et de pouvoir sur notre vie.
Elle peut indiquer l’amorce d’un changement de cap, une vie nouvelle, un avertissement qui, compris à temps, peut devenir une véritable bénédiction.



A l’endroit rune visible :

C’est la rune du bâtisseur, du chef d’entreprise ou de famille ou d’une personne à forte responsabilité.

Bonne santé et longue vie. Il faut garder le moral face à d’éventuels soucis, ces derniers ne sont que passagers.
Ansuz indique sagesse et protection divine, le consultant est sur la bonne voie et tout est possible. Une personne inattendue peut intervenir et aider à la réalisation d’un projet.
Evoque le conseil prudent et sage d’un ainé, et tous les conseils sont bons à prendre pour atteindre la réussite.
Le consultant est inspiré semble gérer au mieux sa vie.

C’est le moment de prendre place dans un cercle, au sein d’un groupe, de s’ancrer, de concrétiser une inspiration, de mettre de l’ordre et de structurer les projets.
Ansuz invite à écouter son instinct tout en gardant les pieds sur terre, et à se laisser guider.
Elle indique l’intelligence, la capacité d’adaptation, la ruse, la communication tant dans le monde visible qu’invisible.
Indique la découverte d’un savoir caché, le consultant doit persévérer dans ses recherches, il en récoltera bientôt les fruits.
Réussite d’un entretien ou d’un examen. Il faut garder à l’esprit que la clef du progrès passe aussi par l’écoute et l’analyse des situations.

 

A l’envers rune visible :

Renversée, Ansuz met en garde contre un piège ou une trahison. Le consultant peut être victime d’un mensonge. Il convient de prendre du recul et de bien analyser la situation avant d’agir.
Il vaut mieux se méfier de l’entourage et se tenir éloigné des ragots et commérages, sous peine de voir une situation se retourner contre soi. Annonce disputes et mésententes.
Mauvais conseils, personne malveillante. Il peut être judicieux de s’isoler ou demeurer discret.

Mauvaise compréhension de la situation, malgré les certitudes. Le consultant manque de maturité pour faire face, il devra faire preuve de sagesse et attendre un moment plus propice pour agir. Analyser avant d’avancer, et mesurer ses paroles, car elles pourraient bien être source de problèmes. Il faut faire preuve de patience. Le progrès ne peut souffrir la précipitation.

Perte de mémoire et oubli de connaissances. Désordre.
Problème lié à une inconscience ou un manque de communication.
Fureur, colère incontrôlée et rancœur issues du passé. Le consultant devra combattre ses fantômes et abandonner d’encombrants bagages émotionnels pour évoluer.

Dans certains cas, peut indiquer la perte d’un proche (maladie, vieillesse, problèmes respiratoires…)

 

A l’endroit Rune cachée :

Il faut user de son intuition et de son imagination pour avancer.

Le consultant est sur le bon chemin, mais se heurte à des personnes malveillantes. Il devra se garder de son entourage et surtout de conseils qui pourraient conduire sa perte. Pondération et réflexion sont de mise.

A l’envers Rune cachée :

Le consultant devra faire face à de gros problèmes et de grandes déceptions s’il ne change pas son fusil d’épaule. Néanmoins, s’il agit avec humilité et sagesse, et parvient à utiliser l’adversité à son avantage, il peut encore sortir vainqueur de la situation.

Si Ansuz indique la protection divine, elle force également à faire preuve d’humilité car l’orgueil intellectuel peut être extrêmement dangereux et pousse immanquablement à l’erreur.

Cette rune enseigne qu’il faut bien réfléchir ses propos, et parler doucement ; la Sagesse peut venir de bien des manières, même dans la souffrance.

L’apprentissage n’a pas de fin, nul ne doit - ni ne peut - se targuer de posséder un savoir suffisant. Il faut avoir l’esprit ouvert et se garder d’émettre des jugements ; toujours chercher à comprendre, en prenant soin de conserver intacte cette capacité d’émerveillement sans laquelle le progrès ne peut être. Celui qui croit n’avoir plus rien à apprendre prouve qu’il ne sait rien.

En espérant de tout cœur que cette lettre vous plaise, n’hésitez pas à venir consulter la boutique pour plus d’informations, ou découvrir les nouveautés que nous avons mises en place.
Nous vous souhaitons une excellente semaine ainsi qu’un agréable mois d’Avril.

 Gaëlle, Gilles & Sébastien

 

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