La Fluorite, aussi appelée fluorine, est composée de fluorure de calcium et possède une dureté de 4 sur l’échelle de Mohs.

La Fluorite est une puissante pierre de l'élément vent. Elle parle du pouvoir de la pensée, de l'attention et de la concentration, et nous engage à réfléchir de façon ordonnée et cohérente.

Cette pierre symbolise l’intelligence et le savoir faire.

Elle contribue à équilibrer la chimie du cerveau, améliorant les habiletés d'apprentissage et de mémorisation, et stimule l'intellect.

Véritable stabilisateur d'énergies, elle apporte du courage en redonnant confiance en l'avenir.

Les fluorines sont d'excellentes stabilisatrices de l'aura, dans la forme, le rayonnement et le positionnement, en particulier lorsqu'elles sont utilisées en périphérie.

La Fluorine Jaune apporte la Joie, Gaieté, bonne humeur, structuration de l'esprit, intelligence, mémoire et accroît la créativité et la coopération.

C'est la pierre que les scientifiques placent dans leur bureau, dans leur laboratoire de recherche c’est pourquoi elle est appelée la pierre du chercheur.

Sur le plan professionnel elle amène l'élévation, les idées claires et permet d’obtenir les contacts favorables à la concrétisation des projets et à la réussite.

La fluorine organise les rouages de la pensée rationnelle, aide aux démarches logiques en y apportant une touche de créativité. Intimement liée au progrès, la fluorine est vraiment la pierre du chercheur.

Elle structure l'imaginaire.

Sur le plan physique la fluorine aidera à protéger la dentition et sera idéale pour les problèmes musculaires et articulaires dû à sa teneur en calcium.

Comme son nom l’indique, fluorite vient du verbe latin « fluere » qui signifie couler, elle calmera donc le stress en favorisant le lâcher prise et aidera à avoir une attitude optimiste.

Purification & Rechargement :

La Fluorite se purifie à l'eau pure et son rechargement s'effectue aux rayons solaires de préférence l'aube ou sur un amas de Cristal de roche.

Citron ? Paille ? Poussin ? Or ? Le dénominateur commun à tous ces mots est bien évidemment le mot jaune, bien que le mot or porte en lui-même une connotation que n’ont pas les autres, plus triviaux et quotidiens. Par rapport au jaune tout court, le jaune d’or prend valeur sommitale. Il est donc l’expression des énergies solaires, il ne perd jamais son éclat, alors que l’argent, tel la Lune qui décroit, se couvre d’un voile noirâtre. L’or, non. Lui est pur et inoxydable. Ce qui explique pourquoi les anciens Égyptiens l’assimilèrent à la chair des dieux alors que les Aztèques virent en lui la peau neuve de la Terre, symbole du renouveau de la Nature au Printemps (Cf. Xipe Totec, divinité de la pluie printanière et également dieu des orfèvres).

Le jaune d’or, par le métal précieux qu’il contient, est une couleur en relation avec le divin. Vishnu, esprit illuminé, portait des vêtements jaunes. Apollon en Grèce et Mithra en Perse furent également liés à cette couleur. Plus globalement, on peut dire que le jaune d’or est très souvent associé aux rois, aux princes et aux empereurs, puisque ces derniers sont directement en rapport avec la toute puissance divine dont la couronne est le symbole le plus évident, quand il ne s’agit pas de l’auréole des saints.

Chaud, ardent et expansif, le jaune a toujours été de très bon augure en Chine où il incarne humilité et renoncement pour les bouddhistes. Dans ses teintes nobles, il représente l’intellect, la raison, le savoir, « l’expression de la pensée qui illumine ». Mais dans d’autres cultures, il présente des connotations bien plus négatives. Il n’est plus intelligence mais devient manque de finesse et sottise, il n’incarne plus le sens de l’amitié mais se transforme en lâcheté et en trahison (adultère, par exemple). S’il y a bien une symbolique que l’on retrouve assez souvent, c’est celle de la tromperie. Par exemple, aux XVI ème et XVII ème siècles, il était de coutume de peindre la porte des traîtres en jaune, alors qu’ils étaient dans l’obligation de porter un turban de couleur jaune délavé dans les pays islamiques. Afin que toute personne sache à qui elle a affaire. Aujourd’hui même, le langage des fleurs a conservé une symbolique de ce type : la rose jaune signifie jalousie alors qu’un bouquet de tulipes jaunes est un gage de nonamour.

Cependant, « la symbolique du Moyen-Âge conserva avec pureté les traditions sur la couleur jaune ; les Maures en distinguaient les deux symboles opposés par deux nuances différentes ; le jaune doré signifiait sage et de bon conseil, et le jaune pâle trahison et déception ». C’est sans doute à cause de cette valeur négative attribuée au jaune que l’art des blasons aura oublié le jaune au profit de l’or.

Au Moyen-Âge, on obligea les juifs à porter une rouelle jaune sur leurs habits, en vertu d’une ségrégation décidée par le Concile de Latran (1215). De même, c’est grâce à un drapeau jaune qu’on annonçait maladies et mises en quarantaine. Ce jaune-là n’est donc plus porteur d’optimisme et de sagesse, mais dénote le soupçon, le doute, l’étroitesse d’esprit. Il prend alors toute sa valeur ignoble, c’est-à-dire non noble. Il est jalousie et orgueil à travers la fameuse pomme de discorde qui fut à l’origine de la guerre de Troie. Il figure la méchanceté dans les maquillages du théâtre chinois, il est le soufre luciférien.

Couleur de la terre fertile et de la maturité, le jaune est la valeur médiane entre le vert printanier et le roux automnal. Forcément solaire et yang, le jaune est éblouissement et révélation. Comme l’indique le peintre et théoricien d’art Vassily Kandinsky, « le jaune a une telle tendance au clair qu’il  ne peut y avoir de jaune très foncé ». Le jaune exprime sa valeur solaire à travers le tournesol, par exemple.

Sa particularité est de diriger avec constance sa fleur en direction du soleil, incarnant ainsi « la perfection toujours tendue vers une présence contemplative ». De même que le maïs, le tournesol est une plante de prospérité en relation avec les nombreuses graines qu’il est capable de produire. Nourricier, le jaune du tournesol et du maïs assure longévité, alors qu’une autre fleur, le  chrysanthème, emblème de la maison impériale japonaise, confine à l’immortalité.

Couleur de la Terre en Chine, le jaune représente le sud pour de nombreuses tribus amérindiennes. Cette direction représente le pouvoir de croître. Ce n’est ni plus ni moins que le sud qui permis à

Vincent Van Gogh de s’élever dans son art lorsqu’il parvint dans le midi de la France, à Arles. Que sont tristes et sombres ses premières toiles représentant son Brabant natal, une obscure région de Hollande !

C’est la lumière et une certaine forme d’illumination qu’il vint chercher dans le sud, en témoignent ses tournesols et ses champs de blé vibrant sous un chaud soleil d’été.

Initiatique et magique, la roue de l’année, fondée sur la conscience de la Terre et la vénération de la nature, est un calendrier agraire qui épouse le rythme des saisons, le cycle de la lune et de la vie.

Selon moi, cette tradition peut être considérée comme un véritable art de vivre en osmose avec la nature.

Elle offre l’opportunité à quiconque de considérer la nature comme la manifestation du divin. L’apprentissage des saisons et de ce qu’elles nous offrent contribue au développement spirituel de la personne et à l’amélioration du monde dans lequel nous vivons.

Vivre au fil des saisons nous permet d’apprendre à connaître et utiliser les énergies naturelles qui nous entourent et qui, associées aux Arts Magiques et à la spiritualité, nous permettent d’opérer les changements voulus ; tant dans nos vies personnelles que dans l’élaboration de nos rituels.

La tradition comprend 21 célébrations correspondant à quatre sabbats majeurs (Samhain, Imbolc, Beltane et Lugnasadh), et quatre sabbats mineurs (Yule, Ostara, Litha, Mabon) qui correspondent aux solstices et aux équinoxes. Ensuite les esbats correspondent aux douze ou treize nuits de pleine lune.

La lune est le symbole de la Déesse dans la tradition Wiccane.  La pleine lune correspond à l’instant où ces énergies sont au plus haut et nous permettent la réalisation de tous type d’invocations de magie blanche, développer ses pouvoirs psychiques, accroître ses facultés, rêves, voyance... C'est également le moment des consécrations et des purifications.

En magie, la Lune exerce aussi son influence en fonction des différentes phases qu’elle occupe.

La Lune croissante est le moment idéal pour attirer les énergies positives. Toute les magies de prospérité, de réussite et de vitalité se pratiquent en Lune montante. Ainsi, toutes les invocations seront positives et les sortilèges seront destinées à attirer les choses vers vous, et ceci dans différents domaines.

La Lune décroissante est le moment pour éliminer des influences négatives, conjurer un mauvais sort, rompre avec de mauvaises habitudes, pour l’exorcisme et le bannissement.

D'une façon générale, on dit que l'on construit pendant la Lune croissante et que l'on détruit pendant la Lune décroissante. C'est l'une des grandes règles de la magie.

Vivre en harmonie avec la nature en arpentant les saisons nous permet de découvrir différentes plantes et apprendre à s’en servir. On va préférer peut-être certains types d’exercices ou rituels à d’autres en fonction de la saison.

Selon cette tradition et les légendes aux racines spirituelles qui en découlent, les sabbats sont célébrés dans des lieux mystiques et retirés, prennent naissance à la tombée de la nuit pour finir à l’aube.

Un cercle de pierre, un feu, une danse…. On y vient pour s’échanger les recettes, onguents, potions, confectionnés avec de simples végétaux et des pierres. On y apprend les incantations nécessaires au bon fonctionnement des remèdes traditionnelles. L’espace d’un moment, le temps s’arrête.

 S'inspirant de traditions plus anciennes pour maintenir le bel enthousiasme de l'été chaque jour de l'année jusqu’au cœur de l'hiver ; les sabbats nous permettent de prendre conscience de notre corps, mais aussi notre esprit, qui fonctionne en symbiose avec les cycles de la nature. Il convient de bien les comprendre et, de connaître leurs particularités pour vivre avec l'énergie du moment et ne pas lutter contre le sens naturel de la vie, qui influence notre organisme et notre comportement.

Il serait réducteur de qualifier les sabbats de moments sacrés, car dans une vision païenne de la vie, il n'existe ni d'instants profanes ni d'instants sacrés.

Chaque instant est sacré.

Les sabbats nous content l'histoire de la Déesse et du Cornu, l’histoire se répète et symbolise les changements s'opérant dans la nature ; changements durant lesquels de grandes forces se mettent en mouvement. Ce sont ces forces qui sont garantes de la fertilité de la vie et qui vont la régénérer.

Les sabbats sont également d'ordre initiatique ; car leur célébration nous ouvre aux changements s'opérant dans la nature et en nous, nous donnant ainsi accès à l'harmonie dans nos vies et la sérénité.

Bien entendu, cette harmonie ne se fait pas par le parcours d'une seule Roue des Saisons, elle nécessite de nombreuses années durant lesquelles la Sorcière et le Mage pénètrent graduellement les différents symboles mis en place dans les rites, s'élevant ainsi vers une forme de conscience spirituelle plus élevée.